CONTEXTE » l'histoire du forum.

Contexte
l'histoire du forum.

« Mon meilleur ami m’a rappelé une citation de William Shakespeare qui me semble approprié « Les affaires humaines ont leurs marées, qui saisies au moment des flux, conduisent à la fortune. L’occasion manquée, tout le voyage de la vie se poursuit au milieu des bas-fonds et des misères, la mer est pleine et nous sommes à flot, il faut prendre le courant tandis qu’il nous est favorable ou perdre toutes nos chances » Je crois que cette citations signifie que la vie est courte et que les opportunités sont rares et qu’il faut être vigilant en les protégeant et pas seulement les opportunités de réussite, mais les opportunités de rire, de voir les merveilles du monde, et…de vivre parce que la vie ne nous doit rien. »

Aujourd'hui, c'est la fin d'une époque, la fin des études. Mes amis et moi avons en ce jour, reçu nos diplômes et ce n'est que maintenant que je réalise que c'est réellement la fin. Au début de cette année, je m'étais promis de profiter au maximum bien que je pensais que le temps passerait beaucoup plus lentement. Je me suis bel et bien trompée... J'ai l'impression en ce jour, que la rentrée était hier et pourtant, c'est déjà la fin. Je redoutais cette fin, car ce n'est pas comme si c'était la fin de notre première année, où la seconde, c'est la fin d'une époque, une belle époque. Nous nous sommes quittés par des larmes, de joies, sans aucun doutes, mais par des larmes. J'en ai mal au coeur de revoir leurs visages tristes et heureux à la fois. C'est dur, vraiment dur. Nous allons chacun de nous, partir de nos côtés, vers de nouveaux horizons... Et je me dis que la prochaine rentrée va être encore plus dure que la fin de cette année. Nous allons tous ressentir un manque, mais en fin de compte, je suis sûre que nous nous oublieront. Ca, ça me rends encore plus triste. D'ailleurs, au moment où j'écris ses quelques idiotes phrases, je vois s'effacer mes mots par les tâches d'encres humidifiaient par mes larmes. Je pleure. Je pleure pour ses trois années qui seront plus vite oubliées qu'elles ne se sont produites. Je pleure pour ces adieux qui nous ont été à tous, difficile. Et je pleure le manque que je ressens déjà sans eux.

Aujourd'hui, nous ne sommes plus des enfants comme autrefois. Nous avons grandis, en bien où en mal... Peu importe. Nous sommes là, coincés entre les sorties, mais surtout, les jobs qui nous attendent chaque matin...