jaimie ♦ it's not over

La fin du début .

NOM & PRENOM(S) : Seher, Jaimie Emyleen Rorie Caroleen.
SURNOM(S) : Jay, Caro.
LIEU DE NAISSANCE : NY.
DATE DE NAISSANCE : 05/09/85
AGE : 25 yo.
NATIONALITE : Françaine, Américaine, et Australienne par mon père.
EMPLOI : Barmen le soir au Viper Room, Secrétaire au centre d'affaire en journée, et styliste à ces heures perdues.
STATUT : Libre ?
GROUPE : Superzero

Truc, bidule, machin, truc .

PREMIERE PARTIE :

Le fruit d'un amour.

Je suis Jaimie Emyleen Rorie Seher. Vous allez me dire que c'est impossible d'avoir autant de prénoms et pourtant. Ma mère n'arrivait pas à se décider lors de ma naissance et à donc décider de mettre tous ceux qu'elle attachait comme second, troisième et quatrième prénom. Avant de parler de moi, je suis dans l'obligation de parler de mes parents, de ma mère surtout. Ma mère est pour moi, tout ce que j'ai de plus précieux au monde. Mes parents se sont rencontrés bizarrement, au travail. Ma mère étant journaliste, elle avait à l'époque, trouvait un petit travail dans une agence, cette agence dont mon père était le dirigeant de la boîte. Au départ, mon père l'engagea sans ne même savoir quelque chose sur ses compétences parce que le fait de la trouver très belle l'avait suffit à l'engager. Un critère selon lui, suffisant pour le poste. Bref, c'est à partir de là que tout débuta entre eux. Mon père, Jason, séducteur de nature, lui proposa un rendez-vous dès la première semaine dans sa boîte. Elle due est possible, mais seulement si vous faites l'accord avec un objet féminin précédent."se due d'accepter, de peur d'être renvoyée et ne voulait pas perdre une place tel que celle-ci. Et dès le premier soir, elle tomba sous son charme et réciproquement. Les rendez-vous tel que ce premier s'enchaînèrent soir après soir, durant plusieurs longues semaines. Jusqu'au jour où ils se mirent vraiment en couple et c'est même à ce jour qu'Elizabeth, ma mère, emménagea chez lui. On pourrait croire à une véritable histoire d'amour. Au départ s'en était une.. belle, romantique et avec un avenir qui disait grand... Jusqu'au jour où mon père s'éloigna pour se laisser tenter par quelque chose de. A ce moment-là, ma mère était enceinte. Elle retarda l'annonce à quelques semaines, sentant la distance se posait entre les deux jeunes gens...
« Jay, je sais que plus rien ne vas entre nous et je sais que tu le retrouves chaques nuits... mais je dois te dire quelque chose. Quelque chose, qui va changer nos vies à tous les deux. » débuta-t-elle aussi timidement soit-il. C'était étrange que ma mère réagisse ainsi, elle savait tout de ce qu'il lui cachait, mais ne lui en voulait pas plus que ça. « Ellie, j'allais t'en parler, je te promets que j'allais le faire, je voulais juste attendre le bon moment tu sais... Parle-moi ma Chérie, qu'est-ce qui se passe ? » Même si mon père était avec un autre homme, il ne pouvait s'arrêter de la surnommée comme tel, de l'aimer tout simplement. « Je... Je suis enceinte Jason, j'attends un bébé. Je le sais depuis plusieurs semaines déjà, mais tout comme toi, je voulais trouver le moment idéal pour te l'annoncer. » Un sourire s'afficha aux lèvres de mon père, car il le savait, il l'avait deviné et découvert, quelques jours auparavant. « Je le savais Ellie... j'ai vu le test de grossesse dans la poubelle l'autre jour. Malgré notre situation... Je suis plus que content, nous allons avoir un bébé, notre bébé. » C'était tellement étrange comme situation pour eux, pour ma mère qui l'aimait en souffrant. « Jason, tu... enfin, tu devrais emménager avec ton nouveau copain. Je préfère et c'est mieux pour toi, pour moi et pour le bébé. Je prendrais soin de t'appeler pour chaque rendez-vous au gynécologue et t'appellerait quand je n'irais pas bien, je te le promets. » J'ai toujours dit, penser et revendiqué que ma mère était quelqu'un de bien et ce qu'elle venait de dire à mon père, le prouver amplement. « Merci mon ange, merci pour tout ce que tu fais pour moi. Tu es quelqu'un d'extraordinaire et j'espère que notre bébé aura toutes tes qualités et je n'en doute pas d'ailleurs. » A ces mots, ma mère ne dit plus rien. Elle se contenta de sourire, tandis que mon père s'en alla préparer une valise avec quelques une de ses affaires. Avant de partir, il s'approcha d'Elizabeth, l'enlaça. « Tu es mon premier amour. » lui souffla-t-il avant de l'embrasser, une dernière fois. Après qu'il soit parti, ma mère s'effondra en pleures. C'était tellement dur pour elle de laisser filer l'homme qu'elle aimait toujours, le père de son bébé. La seule et unique personne qui avait donné un sens à sa vie. Elle réussit tout de même à remonter la pente, avec l'aide de sa meilleure amie, sa famille et tous ceux qui étaient présents pour elle et le bébé. Mon père se rendit à chaque rendez-vous, jusqu'au jour de l'accouchement. A cette période de sa vie, il n'était plus avec son petit ami... et voulait regagner le coeur de ma mère, mais il était trop tard. Ma mère était casée et heureuse lors de ma naissance. Dès mes premiers cris, elle se mit instinctivement à pleurer, c'était pour elle, tout comme pour mon père, le plus beau jour de leurs vies. Mon père laissa le choix à ma mère concernant le prénom, mais cette dernière avait hésité même avant que je naisse. Ainsi, elle opta pour Ezayl Teefany Caroleen Lanihem Barclay. Tous des quatre, de jolies prénoms auxquelles elle portait de forts attachements. Quelques temps après ma naissance, mes parents se remirent ensemble car ma mère réalisa qu'il était réellement l'homme de sa vie et il en allait de même pour mon père. D'éternels indécis... Ma vie s'annonçait des plus belles et heureuses, auprès de ma mère et de mon père. Et pourtant.

Souffrir en silence.

J'avais dis que ma vie s'annonçait des plus belles et heureuses, et pourtant. Aujourd'hui, je peux en dire le contraire. Plusieurs années après ma naissance, il s'est révélé que ma mère et mon père n'étaient finalement pas fait l'un pour l'autre. « Tu as fais la vaisselle ? » demanda ma mère épuisée de toute faire dans la maison familiale. « Non, tu l'as fais toujours, je ne vois pas pourquoi je devrais la faire ce soir... » Mon père répliqua comme habituellement. Je me trouvais assise dans les escaliers, sous une couverture, les écoutant se brouiller. « Jason ! Je travaille toute la journée, et je continus le soir en rentrant du travail, tu pourrais au moins compatir et t'y mettre un peu ! » A ces paroles, mon père se leva brusquement de son "fauteuil fétiche", approcha ma mère, appeurée. Sans qu'elle ne puisse se défendre, Jason prit son bras entre sa main qu'il serra de toutes ses forces. « Lâche-moi Jay ! Qu'est-ce qu'il te prends ?!!! » Jason lacha aussitôt. « Je vais faire un tours, ne m'attends pas ce soir. » Ma mère se doutait alors où il allait passé sa nuit. Depuis quelques temps, mon père était moins présents à la maison et chaque soirs, il trouvait une excuse bidon pour passer la nuit avec une de ses collégues. Il faut dire que mon père avait franchement tendance à tromper ma mère mais ça ne lui empéchait pas de l'aimer... Voulant éviter toutes ses colères et disputes, je passais chaque jours chez mon meilleur ami qui m'accueillait toujours les bras ouverts.

Ma première fois.

J'ai toujours été une enfant difficile à vivre. A mon adolescence déjà, j'étais quelqu'un de dur à suivre et cernée. Seule mon meilleur ami pouvait me comprendre. C'est d'ailleurs avec lui que je passais le plus clair de mon temps, le jour, on était accroché l'un à l'autre, et on passait nos nuits au téléphone. Au fond de moi, j'ai toujours su que c'était bien plus qu'un simple ami... Je me sens obligeais de raconter ma première fois. Je m'en souviens comme si c'était hier, car ce genre de choses ne s'oublient pas. C'était donc avec lui... Enfaîte, ayant peur tous les deux, on s'était dit qu'on le ferait ensemble, de manière à ce que nous prévoyons à quoi nous attendre avec nos petit(e)s ami(e)s respectifs(ves). Il était venu chez moi, un samedi après-midi alors que ma mère et mon beau-père travaillent... « Tu as pris des préservatifs ? » fit la première question que je lui posa à son entrée. « Bordel Eza, tu es une fille et une fille garde toujours de capotes sur elle, au cas où. » me répondit-il entrant. « Tu as de la chance... J'en ai choppé deux au lycée. » répondis-je alors en les agitant face à lui. « Deux ? Tu es sûr qu'on en a besoin de deux ? » Après ses paroles, je me mis à rire, pour une raison totalement inconnue. Peut-être que j'étais stréssée, anxieuse où je-ne-sais quoi d'autre. « Imagine qu'on y prend goût ! » dis-je en continuant de rire. « Ca ne risque pas... » me dit-il alors. « Dis carrément que je suis mal gaulée Lucas... Sois heureux que j'accepte de le faire avec toi... » Il soupira désespérément. « Jay... C'est toi qui m'a demandé...» Bon ok, il m'avait eu... « Oui d'accord, mais... tu veux aussi... » Je m'approcha alors de lui, tout sourire et ne dis plus rien. « Euhm... qu'est-ce que je dois faire là ? » me demanda-t-il. « Embrasse-moi X. » Et après ça, nous avons enchaîné, un peu brusquement et maladroitement. Au fond de moi, je suis contente d'avoir partagé ce moment avec lui. Et je pense que lui aussi... Disons que ce moment nous a vraiment rapproché. Le lendemain seulement, je me rendis dans l'appartement de ses parents, là où il vivait également et nous avons une nouvelle fois partagé un moment tel que la veille. C'était vraiment étrange comme situation et assez gênante mais ils ne pouvaient plus s'y empêcher. « On est vraiment con . » dis-je après l'avoir fait. « Nous sommes jeunes et cons. » me répondit-il. Après qu'il me répondit, je me leva de son lit et me rhabilla illico, sous ses yeux. Avant que je quitte sa chambre... Il intercepta mes pas en attrapant mon bras. « Nous sommes jeunes et cons, et à part ça... » J'étais littéralement surprise, insinuait-il qu'il y avait autre chose entre nous où... « Je ne sais pas. Je n'en sais rien. » Je baissais alors ma tête sans ne savoir trop quoi faire, ni quoi dire... La situation devenait de plus en plus compliquée. « Si on l'a refait, c'est qu'il y a une raison, tu ne crois pas ? » Je me voilais la face mais je n'osais pas lui dire ce que je ressentais à son égard et apparement, lui aussi. « Je sais... Peut-être juste qu'on s'attire mutuellement ? Ou peut-être qu'il y a autre chose... Je crois plutôt qu'il y a autre chose. X, je... Bordel je... enfin, je réalise que ce que je ressens dépasse le stade de l'amitié. Je... Enfin ça fait quelques temps déjà mais ce n'est qu'aujourd'hui que je réalise que... que Je t'aime, tout bêtement. Oui, je t'aime. Gosh, j'y suis arrivée. » Je sentais alors mes joues se chauffaient et rougirent à la fois, j'appréhendais sa réaction... Mais il ne dit pas un mot, rien pendant plusieurs minutes et je n'avais qu'une envie, celle de m'eclipser en douceur parce que là, je venais de me ridiculiser, me vautrer mais complétement. J'étais sur le point de partir en courant quand il s'approcha de moi et que lentement, il déposa ses lèvres sur les miennes. A ce moment là, j'étais déboussolée, désemparée, perdue...

Aujourd'hui.

Je ne suis plus avec mon X, car il dû déménager. Cependant, je l'aime toujours et mon coeur est toujours avec ce dernier. Nous n'avons plus de contacts entre nous mais j'espère de tout coeur qu'il pense encore à moi et qu'il reviendra un jour. J'ai durant cet absence, fait le rencontre d'un nouveau garçon.
Entre X et moi, ce fut une rencontre banale, totalement banale. Je me trouvais, après une virée shopping, les bras pleins de sachets contenants de choses en tout genre, des sous-vêtements, des chaussures, des robes, bijoux et accesoires... Bref, je marchais limite la tête baissée, quand cet homme, ce bel étalon brun aux yeux brillancés de couleur chocolat, me percuta. C'était mon jour de chance, ou pas... Son café chaud bouillant se renversa sur ma tenue blanche crême avant que je ne m'affale au sol, renversant quelques sacs en passant. Sans que je ne lui demande quoi que ce soit, il me tendit la main en me questionnant sur comment j'allais. Bien, c'était sûr, contrairement à ma robe, qui vennait d'en prendre chère. Après ça, même pas me vint à l'esprit de ramasser mes sous-vêtements, qui s'exposaient carrément sous ses yeux, et les miens. C'est plongée dans son doux regard que je m'aperçue en suivant ses mains se poser à terre pour ramasser ce dont je n'étais pas fichu de récupérer. Un sourire s'afficha à ses lèvres, un sourire qu'un homme pouvait avoir lorsqu'il voyait de beaux et neufs sous-vêtements rouge diabolique et plus que sexy. Dieu que j'avais honte. « C'est mignon... » Et là, je devais être rouge tomate, j'en sentais déjà la chaleur parvenir à mes joues. J'arracha de ses mains mes sous-vêtements sans ne rien dire. Lorsque j'en récupéra toutes mes affaires, il s'approcha de moi, et me glissa quelques mots à l'oreille. « J'adorerais t'y voir avec. » Il fallait dire qu'il n'y était pas aller de main morte mais j'étais excitée sur le coup. Après ce jour, je rêvais nuit après nuit, de lui, de son corps, de ses mains, ses yeux, son visage... Ce n'est que deux semaines après qu'on se croisa une nouvelle fois, et au même endroit, sauf que cette fois, j'avais les bras libres, totalement libres. Je m'arrêta car il en fit de même. Il sourit exactement comme la fois précédente. J'en fis de même. Il en remarqua un morceau de mon soutien-gorge ressortir de mon décolleté. Son sourire en devint légèrement plus déplacé. « Ce sont ceux de la dernière fois. » Je pris une expression de mon visage qui en valait la réponse à sa question. « Tu sais ce dont j'ai envie ? » me demanda-t-il en s'approchant de moi. « Peut-être de me les arracher ? » « Tu lis dans mes pensées. » « Peut-être que tes pensées peuvent se réaliser... » Je laissais sous-entendre que lui aussi m'intéresser. « Vraiment ? » Et je ne dis plus un mot. J'emprunta sa main et l'embarqua dans un des dizaines de toilettes féminins du centre commercial, là, je le plaqua contre le mur. Mais rien, il avait un appel d'urgence et dû s'eclipser en vitesse, prennant la peine de me laisser son numéro. Aujourd'hui, ils se désirent toujours autant et à chaques fois qu'ils se voient, se pointe toujours un empêchement de dernière minute...

DEUXIEME PARTIE :

Cette deuxième partie est moins libre, on vous demande de décrire, parler de votre vie après la fin de vos études, donc votre vie en cherchant un boulot, en le trouvant ou pas. En dix lignes aussi.

Le début de la fin .

PSEUDO ET/OU PRENOM : Mareena.
AGE : 185953 yo.
COMMENT AS-TU CONNU LIVE : Dans mon paquet de malboro.
COMMENT LE TROUVES-TU : Awesome babe.
CONNEXION : 6 à 7/7.
AVATAR : La plus belle des belles.
MODELE DE RP : Je t'aime.
AUTRES : MARYLINE

» C'est le temps des retrouvailles? ; jaimie ♥